Ro est une jeune artiste qui a eu de gros succès avec ses dernières toiles. Du coup, la renommé qui s’en suit ainsi que la pression fait en sorte que Ro n’arrive plus a trouvé l’inspiration. Et son magnifique coup de pinceau du coup tarde à s’exprimer.
Pour palier à ce contre temps, son galeriste lui conseille une retraite au calme loin du tumulte de la vie urbaine et de ses conntrainte. Peut être que l’inspiration lui reviendra.
Ro suit donc son conseil et part en quête d’une habitation pour laisser s’exprimer son génie créatif. Après plusieurs visites, notre protagoniste tombe en émoi devant une bâtisse. L’agent immobilier qui lui fait la visite de celle ci tente de l’en dissuader car cette maison est prétendument hantée. Mais Ro ne va écouter que son instinct et louer cette maison. Va-t-elle finir par retrouver l’inspiration ? Le fantôme existe-t-il vraiment dans cette demeure ? Arrivera-t-elle à honorer ses commandes ? Tant de questions qui posent et qui trouveront peut être leurs réponses au fil de ta lecture.
Alors qu’est ce que j’en ai pensé de tout ? Déjà l’oeuvre démarre avec une superbe collaboration, celle de Skotti Young et Jorge Conora qui avait bosser avant ensemble sur la série middle west. De plus Skotti Young je t’en ai déjà parler dans une précédente chronique sur « L’hâte frairyland ».
Ici le trait est bien plus sombre et le jeu de lumière bien présent. Petit conseil pour encore mieux t’émerger dans cet ouvrage, lis le à la lueur d’une bougie. Cela accentuera encore plus les traits sombre et permettra à l’ambiance générale de l’oeuvre de ressurgir encore mieux.
De plus, Skotti Young ici nous a pondu un scénario vraiment exceptionnel digne d’un Stephen King ou autre Lovecraft. Skotti nous fait rentrer dans l’histoire et arrive à faire en sorte que l’on ne sait si le fantôme est réel, si c’est dans la tête de Ro ou encore si il explore les relations toxique que certaines personnes peuvent avoir. Quoi qu’il en soit cette lecture te posera encore des questions plusieurs jours après avoir lu la dernière pages. D’ailleurs le titre anglais « The me you love in the dark » alimentera surement ta propre réflexion.